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Entraide et Tradition

Une incroyable coalition visant à renverser l’ordre mondial actuel

publié dans regards sur le monde le 17 avril 2021


PUBLIÉ PAR PIERRE REHOV LE 17 AVRIL 2021

Interview du général de Bg. (ret) Bartolomeu Constantin SĂVOIU, ancien vice-président CIOR — NATO (Confédération interalliée des officiers de réserve — NATO 1,3 millions de membres) archonte du patriarcat œcuménique de Constantinople, co-président de l’Alliance universelle des Églises Orthodoxes Canoniques, président du Parti roumain « Alliance Loi et Ordre » — A.L.O., et directeur de l’hebdomadaire « PATRIA ROMÂNĂ ».

 

Mon intervention est la conséquence d’une longue réflexion : comment une civilisation si avancée, si incroyablement belle, chargée d’histoire aux quatre coins du monde occidental peut-elle s’autodétruire et se détériorer dans un processus inexorable ? Derrière ce déclin, se cachent un jeu et un ensemble d’événements très complexes que je vais essayer d’expliquer davantage, avec mon analyse.

La première étape de cette analyse est l’élection de Joe Biden et la défaite du président Donald J. Trump, qui cache un complot très intelligent et une conspiration bien organisée et exécutée derrière cette élection.

Pour la première fois dans l’histoire des élections américaines, un président a été vaincu par une incroyable coalition d’organismes étatiques : la CIA, le FBI, le département d’État, mais aussi une grande partie de l’Administration qui ont collaboré à la destruction de Trump avec la coopération des services secrets d’autres pays, de MI6 anglais au BND allemand, et on parle aussi des services français, italiens, etc. Jamais auparavant, dans l’histoire des États-Unis une telle chose n’avait été vue.

Il y a eu aussi une coalition inhabituelle impliquée dans ce jeu d’intérêts, entre l’islamisme, l’extrémisme LGBT, le fascisme et le néo-communisme. Tous les mouvements, à commencer par Antifa, Black Lives Matter, se sont réunis, aidés par le Parti communiste chinois, pour vaincre le président Trump. Pour comprendre cela, il faut remonter un peu en arrière et rappeler qu’en 2005 trois jeunes ingénieurs-informaticiens vénézuéliens travaillant au Venezuela, dirigé à l’époque par le Dictateur Chavez, ont mis au point un logiciel permettant — lors du vote — de changer le nom du candidat sans laisser de traces.

Pour faciliter la compréhension, il est possible qu’en appuyant sur le bouton avec lequel j’exprime ma préférence pour Trump via ce logiciel, la préférence soit attribuée à Biden. Tout cela sans laisser de traces ! Ce logiciel a d’abord été utilisé au Venezuela par le Dictateur Chavez, ensuite par son « héritier » Maduro, ramené aux Etats-Unis sous le président Obama et utilisé lors des élections en Floride en 2016, puis est devenu plus sophistiqué jusqu’aux élections de 2020. Il a été promu aux Etats-Unis par les sociétés Sequoia, puis Dominion dans laquelle on retrouve un milliardaire important de la Chine communiste et « l’ombre” de George Soros. La victoire de Biden, à la lumière de tout cela, c’est une victoire volée. Dans 25 des 50 États, les machines à voter électroniques ont été vendues par le mari de Nancy Pelosi, la dirigeante démocrate de la Chambre des Représentants, opposante virulente au président Trump. « L’opération » était excellente, c’était la fraude sans laisser des « traces » !

Un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de ce véritable complot a été joué par l’ennemi numéro 1 de notre société traditionnelle : le célèbre George Soros déjà évoqué. Il faut se rappeler qu’en février 2020, à la conférence de Davos, où les nouveaux équilibres géopolitiques ont été débattus, Trump a dit clairement : « Je m’oppose à ce nouvel ordre mondial ». Deux jours plus tard, cet ennemi de la Société occidentale traditionnelle, judéo-chrétienne et gréco-romaine qu’est Soros, a déclaré lors d’un grand dîner réunissant la « crème » des dirigeants mondiaux : « Trump doit partir !! ». Et à la lumière des faits, il a réussi, éliminant ainsi le dernier obstacle à l’établissement de son « Nouvel » ordre mondial.

Bien que difficile à imaginer, notre présent est le résultat de cette coalition entre néo-communistes, extrémistes LGBTistes et l’islam radical, qui joue un rôle majeur. À mon avis, dans les 15 à 25 prochaines années, et non seulement c’est moi qui le pense, mais aussi des politologues, des experts, des spécialistes des services spéciaux, nous aurons une Europe islamique. L’islam a une « bombe atomique » qui est le « taux de natalité ». Dans une Europe où le taux de natalité est négatif (chaque année, par exemple, en Roumanie, nous perdons 300.000 personnes et selon des estimations, des 16 à 17 millions – la population actuelle – il en restera 10 millions en 2050 — étude démographique ONU — et n’existera plus en tant que population autochtone, roumaine en 2100), la population musulmane en Europe constituera la majorité prédominante. Comme l’a dit Kadhafi : « Nous gagnerons l’Europe sans balles, sans guerres, uniquement avec le ventre de nos femmes ».

La deuxième puissance mondiale à profiter de la prise de contrôle islamiste en Europe est la Chine. De Nostradamus à la Bible, j’en ai entendu parler : le fameux péril jaune ! La Chine, qui a le pouvoir, la discipline et l’extraordinaire capacité d’organisation, de travail et de développement, entend, avec les islamistes, détruire l’Amérique du Nord et l’Europe pour provoquer le déclin du monde occidental dans la plus grande partie du monde. Très probablement, c’est elle qui sera le Leader mondial avant 2100 !

Une autre question que je voudrais aborder est la situation de la Russie, une Grande Puissance qui s’est progressivement éloignée du monde occidental.

Je me souviens que le grand président de la France, le général de Gaulle, disait : « Nous ne pouvons pas faire l’Europe sans la Russie ». Jusqu’en 2014, le pays était sur le point de s’allier avec l’Union européenne et on parlait de 2020 comme possible partenariat avec l’OTAN, mais en 2014, lorsque l’ancien président ukrainien Lanukovitch a fui Kiev pour Moscou suite au soulèvement populaire soutenu par l’Occident et les USA, la Russie a repris la Crimée, qui n’avait jamais été ukrainienne, et aussitôt, l’Europe et les Etats-Unis ont proclamé des sanctions contre elle, éliminant ainsi tous les progrès réalisés auparavant par le rapprochement entre l’Occident et la Russie. La Turquie et l’Iran, auxquels s’est joint la Russie, ce grand pays chrétien, ont formé une sorte de coalition dangereuse, anti-occidentale, et anti-chrétienne.

Comme vous pouvez le voir, nous sommes face à une « Alliance hétéroclite » dont les conséquences sont déjà visibles : les pro-communistes et les forces de gauche ont détruit l’ordre ancien de notre civilisation judéo-chrétienne en utilisant une immigration massive incontrôlée. Et si nous nous posions une question rhétorique : combien de millions pouvons-nous recevoir dans la vieille Europe ? La réponse est claire : il y a des millions et des millions d’Africains chassés par la pauvreté, la misère, les régimes corrompus et le terrorisme qui viennent chercher une vie meilleure en Europe et rien ne pourra les arrêter ! Mais combien de temps pouvons-nous encore les accueillir ? Au détriment de notre stabilité ? La plupart des dirigeants européens ont trahi leur mission de défendre leur propre pays !

Pour moi, l’avenir est sombre ! Même le chef de l’Église catholique romaine, le pape François, est un plus grand défenseur des immigrés, dans la grande majorité des musulmans, que des hommes et des femmes, fidèles de notre Foi chrétienne ! Dans ce contexte similaire, on voit l’activisme extrémiste LGBTiste qui veut changer la nature de la Famille traditionnelle, en éliminant le symbole sacré des parents : le père et la mère, en le remplaçant par le Parent 1 et Parent 2 (deux hommes ou deux femmes comme parents), symboles qui déshumanisent la société et la création humaine possible seulement entre deux sexes différents, annonçant ainsi la décadence et l’effondrement de la civilisation actuelle ! Une réalité maintenant devient de plus en plus omniprésente : les minorités gouvernent les majorités et si vous exprimez ouvertement vos idées et vous n’êtes pas « politiquement correct », vous êtes appelé « fasciste », « nazi », « raciste », « homophobe » !

Mais, il n’y a de perdues que les guerres qu’on ne mène pas.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov pour Dreuz.info.

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