Comme un bouquet de roses
publié dans couvent saint-paul le 28 janvier 2012
4èmedimanche après l’Epiphanie
Comme un bouquet de roses
Les pensées de cette messe sont tellement riches et nombreuses qu’on ne sait où arrêter son esprit et sa réflexion…Aussi je me permettrai d’être un peu comme l’abeille qui, sur un parterre de fleurs, va et vient de l’une à l’autre. Ainsi irons nous d’idée en idée…Ainsi irons nous cueillir quelques fleurs pour en faire un beau bouquet…que je suis heureux de vous offrir pour qu’il orne votre demeure, la demeure de votre âme et y répande tous ses parfums de joie. Oui ! « Que la terre trésaille de joie ».
L’Introït exprime une belle pensée. « Adorez Dieu vous tous ses Anges, Sïon a entendu et s’est réjouie et les filles de Juda ont tressailli de joie ». L’adoration est au cœur de l’activité angélique. Ouvrez l’Apocalypse et vous le constaterez évidemment. « Puis je vis, – nous sommes au chapitre 5 verset 11 de l’Apocalypse – et j’entendis autour du trône, – c’est le trône de Dieu et de l’Agneau – autour des animaux et des vieillards, – ces sont les Evangélistes, les Prophètes et les Apôtres – la voix d’une multitude d’anges, et leur nombre était des myriades et des milliers de milliers. Ils disaient d’une voix forte : « L’Agneau qui a été immolé – C’est le Christ, c’est le Verbe de Dieu, c’est le Fils de Dieu, c’est Dieu lui-même – est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire et la bénédiction. »
Les Anges sont certes nos protecteurs, mais avant ou tout autant les adorateurs de Dieu. Ce qu’ils font, nous devons le faire à notre tour. Nous avons les mêmes raisons qu’eux de le faire. Créatures, ils le sont, nous le sommes tout autant. Parce que créatures, ils adorent. Nous devons nous-mêmes adorer. C’est une question de justice. Nous devons rendre à Dieu toute gloire, tout honneur, toute louange. Cela lui est du parce qu’il est créateur. L’enfant doit « honneur et louange » à ses parents. Car il leur doit son existence. Nous devons à Dieu notre adoration, car Il est principe de notre être. Et c’est pourquoi du reste, les élus du ciel s’unissent à cette adoration des anges.
L’Apocalypse le dit bien au verset suivant, au verste 13: « Et toutes les créatures qui sont dans le ciel,…je les entendis qui disaient : A Celui qui est assis sur le trône – à Dieu – louange, honneur, gloire et puissance dans les siècles des siècles! Et les quatre animaux disaient : » Amen ! » Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent [Celui qui vit aux siècles des siècles].
Cette adoration s’explique par ma finitude et par la majesté de Dieu. Mais il faut ajouter une autre raison. Au principe de mon chant d’actions de grâces, de celui des Anges et des Saints se trouve le grand mystère de notre Rédemption. La connaissance du mystère dela Rédemption, de cet amour sans mesure du Verbe de Dieu, du Christ pour chacun d’entre nous, provoque en mon cœur action de grâce, louange, adoration
C’est parce que Dieu est Dieu, qu’ils l’adorent. Mais ce n’est pas tout
« Et je vis, et voici qu’au milieu du trône et des quatre animaux, et au milieu des vieillards, un Agneau était debout: il semblait avoir été immolé; Il vint, et reçut le livre … Quand il eut reçu le livre, les quatre animaux et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l’Agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d’or pleines de parfums, qui sont les prières des saints. Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant : » Vous êtes digne de recevoir le livre et d’en ouvrir les sceaux; car vous avez été immolé et vous avez racheté pour Dieu, par votre sang, des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple et de toute nation ; et vous les avez faits rois et prêtres, et ils régneront sur la terre ». Là, le principe de leur adoration n’est plus seulement la puissance créatrice de Dieu, mais bien sa puissance rédemptrice. Elle est tout autant digne d’adoration, le louange, d’action de grâces, de contemplation, d’admiration silencieuse. C’est pourquoi continuez d’imiter lors de votre assistance à la messe, cette belle liturgie céleste ; soyez dans l’adoration, l’action de grâces, la louange. Et vous connaitrez la joie de l’âme. Croyez-moi. « Videte quoniam suavis est Dominus ».
L’Epître est tout simplement merveilleuse ; Elle nous rappelle un enseignement fondamental du Christ : la charité fraternelle. Un jour, « un des Pharisiens, docteur de la loi, lui demanda pour l’embarrasser : » Maître, quel est le plus grand commandement dela Loi? » Il lui dit : » Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. C’est là le plus grand et le premier commandement. Un second lui est égal : Tu aimeras ton proche comme toi-même. En ces deux commandements tient toutela Loi, et les Prophètes. »
Cet enseignement a été parfaitement retenu et prêché par ses disciples. Aujourd’hui l’Eglise cite saint Paul dans son Epître aux Romains : « Ne soyez les débiteurs de personne, si ce n’est de vous aimer les unes les autres ». C’est dire que nous avons qu’un seul devoir envers notre prochain, c’est celui de la charité. Il reprend même explicitement l’enseignement du Christ puisque lui aussi dit : « Celui qui aime le prochain accomplitla Loi.Tousles commandements se résument dans cette parole, conclue-t-il, tu aimeras ton prochain comme toi-même. L’amour du prochain ne fait pas de mal ». Il insiste : « L’amour est donc l’accomplissement de la loi »
Saint Jean nous rappelle le même enseignement. Entendez ces paroles particulièrement fortes : « Celui qui dit être dans la lumière
et qui hait son frère est encore dans les ténèbres. Celui qui aime son frère, demeure dans la lumière, et il n’y a en lui aucun sujet de chute. Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres ; il marche dans les ténèbres, sans savoir où il va, parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux. »
Ou encore : « Car le message que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous nous aimions les uns les autres ; non point comme Caïn, qui était du malin et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises, tandis que celles de son frère étaient justes. Ne vous étonnez pas, mes frères, si le monde vous hait. Nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères. Celui. qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui. »
Et cet amour que nous devons avoir pour notre prochain a comme archétype celui du Christ qui a donné sa vie pour notre salut : « A ceci, dit saint Jean, nous avons connu l’amour, c’est que Lui a donné sa vie pour nous. Nous aussi, nous devons donner notre vie pour nos frères. Si quelqu’un possède les biens de ce monde et que, voyant son frère dans la nécessité, il lui ferme ses entrailles comment l’amour de Dieu demeure-t-il en lui ? Mes petits enfants, n’aimons pas de parole et de langue, mais en action et en vérité » (I Jn 2)
Nous pourrions également arrêter notre attention sur la crainte de Dieu : « Les nations craindrons votre nom, Seigneur et tous les rois de la terre votre gloire ». Arrêter notre attention et exprimer notre étonnement devant la grande indifférence du monde du nom de Dieu. Son nom est non seulement bafoué, méprisé, moqué mais oublié…comme si nous n’avions pas une âme immortelle qui devra rendre des comptes à Dieu. « Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de la vie, et afin d’entrer dans la ville par les portes ! Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s’y adonne! C’est moi, Jésus, qui ai envoyé mon ange vous attester ces choses, pour les Eglises. C’est moi qui suis le rejeton et le fils de David, l’étoile brillante du matin. «
Et l’Esprit et l’Epouse disent : » Venez ! » Que celui qui entend dise aussi Venez ! Que celui qui a soif, vienne! Que celui qui le désire, prenne de l’eau de la vie gratuitement ! » Ce sont les dernières paroles de l’Apocalypse.
Disons en conclusion quelques mots sur l’Evangile et ce merveilleux miracle de Jésus apaisant la tempête. Voilà le troisième miracle que nous raconte dans son année liturgique, l’Eglise. Nous avons eu d’abord le miracle de Cana : l’eau changée en vin par la puissance du Seigneur. Puis les miracles du lépreux et de l’enfant du Centurion, guérison et de l’un et de l’autre, de l’un en le touchant, c’est le lépreux, de l’autre à distance, c’est l’enfant du Centurion. Aujourd’hui c’est le miracle de la tempête apaisée. Tous ces miracles montrent la grande puissance de NSJC. Ils fondent sa divinité, ils attirent notre admiration. « Quel est celui à qui la mer et les vents obéissent ? »
Seigneur, je sais en qui j’ai mis ma confiance. Je ne serai pas confondu.
Seigneur, je crois mais augmentez ma foi.
Tel est mon bouquet de fleurs pour ce dimanche. Et pour votre cœur
Les pensées de cette messe sont tellement riches et nombreuses qu’on ne sait où arrêter son esprit et sa réflexion…Aussi je me permettrai d’être un peu comme l’abeille qui, sur un parterre de fleurs, va et vient de l’une à l’autre. Ainsi irons nous d’idée en idée…Ainsi irons nous cueillir quelques fleurs pour en faire un beau bouquet…que je suis heureux de vous offrir pour qu’il orne votre demeure, la demeure de votre âme et y répande tous ses parfums de joie. Oui ! « Que la terre trésaille de joie ».
L’Introït exprime une belle pensée. « Adorez Dieu vous tous ses Anges, Sïon a entendu et s’est réjouie et les filles de Juda ont tressailli de joie ». L’adoration est au cœur de l’activité angélique. Ouvrez l’Apocalypse et vous le constaterez évidemment. « Puis je vis, – nous sommes au chapitre 5 verset 11 de l’Apocalypse – et j’entendis autour du trône, – c’est le trône de Dieu et de l’Agneau – autour des animaux et des vieillards, – ces sont les Evangélistes, les Prophètes et les Apôtres – la voix d’une multitude d’anges, et leur nombre était des myriades et des milliers de milliers. Ils disaient d’une voix forte : « L’Agneau qui a été immolé – C’est le Christ, c’est le Verbe de Dieu, c’est le Fils de Dieu, c’est Dieu lui-même – est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire et la bénédiction. »
Les Anges sont certes nos protecteurs, mais avant ou tout autant les adorateurs de Dieu. Ce qu’ils font, nous devons le faire à notre tour. Nous avons les mêmes raisons qu’eux de le faire. Créatures, ils le sont, nous le sommes tout autant. Parce que créatures, ils adorent. Nous devons nous-mêmes adorer. C’est une question de justice. Nous devons rendre à Dieu toute gloire, tout honneur, toute louange. Cela lui est du parce qu’il est créateur. L’enfant doit « honneur et louange » à ses parents. Car il leur doit son existence. Nous devons à Dieu notre adoration, car Il est principe de notre être. Et c’est pourquoi du reste, les élus du ciel s’unissent à cette adoration des anges.
L’Apocalypse le dit bien au verset suivant, au verste 13: « Et toutes les créatures qui sont dans le ciel,…je les entendis qui disaient : A Celui qui est assis sur le trône – à Dieu – louange, honneur, gloire et puissance dans les siècles des siècles! Et les quatre animaux disaient : » Amen ! » Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent [Celui qui vit aux siècles des siècles].
Cette adoration s’explique par ma finitude et par la majesté de Dieu. Mais il faut ajouter une autre raison. Au principe de mon chant d’actions de grâces, de celui des Anges et des Saints se trouve le grand mystère de notre Rédemption. La connaissance du mystère de la Rédemption, de cet amour sans mesure du Verbe de Dieu, du Christ pour chacun d’entre nous, provoque en mon cœur action de grâce, louange, adoration
C’est parce que Dieu est Dieu, qu’ils l’adorent. Mais ce n’est pas tout
« Et je vis, et voici qu’au milieu du trône et des quatre animaux, et au milieu des vieillards, un Agneau était debout: il semblait avoir été immolé; Il vint, et reçut le livre … Quand il eut reçu le livre, les quatre animaux et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l’Agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d’or pleines de parfums, qui sont les prières des saints. Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant : » Vous êtes digne de recevoir le livre et d’en ouvrir les sceaux; car vous avez été immolé et vous avez racheté pour Dieu, par votre sang, des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple et de toute nation ; et vous les avez faits rois et prêtres, et ils régneront sur la terre ». Là, le principe de leur adoration n’est plus seulement la puissance créatrice de Dieu, mais bien sa puissance rédemptrice. Elle est tout autant digne d’adoration, le louange, d’action de grâces, de contemplation, d’admiration silencieuse. C’est pourquoi continuez d’imiter lors de votre assistance à la messe, cette belle liturgie céleste ; soyez dans l’adoration, l’action de grâces, la louange. Et vous connaitrez la joie de l’âme. Croyez-moi. « Videte quoniam suavis est Dominus ».
L’Epître est tout simplement merveilleuse ; Elle nous rappelle un enseignement fondamental du Christ : la charité fraternelle. Un jour, « un des Pharisiens, docteur de la loi, lui demanda pour l’embarrasser : » Maître, quel est le plus grand commandement de la Loi? » Il lui dit : » Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. C’est là le plus grand et le premier commandement. Un second lui est égal : Tu aimeras ton proche comme toi-même. En ces deux commandements tient toute la Loi, et les Prophètes. »
Cet enseignement a été parfaitement retenu et prêché par ses disciples. Aujourd’hui l’Eglise cite saint Paul dans son Epître aux Romains : « Ne soyez les débiteurs de personne, si ce n’est de vous aimer les unes les autres ». C’est dire que nous avons qu’un seul devoir envers notre prochain, c’est celui de la charité. Il reprend même explicitement l’enseignement du Christ puisque lui aussi dit : « Celui qui aime le prochain accomplit la Loi. Tous les commandements se résument dans cette parole, conclue-t-il, tu aimeras ton prochain comme toi-même. L’amour du prochain ne fait pas de mal ». Il insiste : « L’amour est donc l’accomplissement de la loi »
Saint Jean nous rappelle le même enseignement. Entendez ces paroles particulièrement fortes : « Celui qui dit être dans la lumière
et qui hait son frère est encore dans les ténèbres. Celui qui aime son frère, demeure dans la lumière, et il n’y a en lui aucun sujet de chute. Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres ; il marche dans les ténèbres, sans savoir où il va, parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux. »
Ou encore : « Car le message que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous nous aimions les uns les autres ; non point comme Caïn, qui était du malin et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises, tandis que celles de son frère étaient justes. Ne vous étonnez pas, mes frères, si le monde vous hait. Nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères. Celui. qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui. »
Et cet amour que nous devons avoir pour notre prochain a comme archétype celui du Christ qui a donné sa vie pour notre salut : « A ceci, dit saint Jean, nous avons connu l’amour, c’est que Lui a donné sa vie pour nous. Nous aussi, nous devons donner notre vie pour nos frères. Si quelqu’un possède les biens de ce monde et que, voyant son frère dans la nécessité, il lui ferme ses entrailles comment l’amour de Dieu demeure-t-il en lui ? Mes petits enfants, n’aimons pas de parole et de langue, mais en action et en vérité » (I Jn 2)
Nous pourrions également arrêter notre attention sur la crainte de Dieu : « Les nations craindrons votre nom, Seigneur et tous les rois de la terre votre gloire ». Arrêter notre attention et exprimer notre étonnement devant la grande indifférence du monde du nom de Dieu. Son nom est non seulement bafoué, méprisé, moqué mais oublié…comme si nous n’avions pas une âme immortelle qui devra rendre des comptes à Dieu. « Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de la vie, et afin d’entrer dans la ville par les portes ! Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s’y adonne! C’est moi, Jésus, qui ai envoyé mon ange vous attester ces choses, pour les Eglises. C’est moi qui suis le rejeton et le fils de David, l’étoile brillante du matin. »
Et l’Esprit et l’Epouse disent : » Venez ! » Que celui qui entend dise aussi Venez ! Que celui qui a soif, vienne! Que celui qui le désire, prenne de l’eau de la vie gratuitement ! » Ce sont les dernières paroles de l’Apocalypse.
Disons en conclusion quelques mots sur l’Evangile et ce merveilleux miracle de Jésus apaisant la tempête. Voilà le troisième miracle que nous raconte dans son année liturgique, l’Eglise. Nous avons eu d’abord le miracle de Cana : l’eau changée en vin par la puissance du Seigneur. Puis les miracles du lépreux et de l’enfant du Centurion, guérison et de l’un et de l’autre, de l’un en le touchant, c’est le lépreux, de l’autre à distance, c’est l’enfant du Centurion. Aujourd’hui c’est le miracle de la tempête apaisée. Tous ces miracles montrent la grande puissance de NSJC. Ils fondent sa divinité, ils attirent notre admiration. « Quel est celui à qui la mer et les vents obéissent ? »
Seigneur, je sais en qui j’ai mis ma confiance. Je ne serai pas confondu.
Seigneur, je crois mais augmentez ma foi.
Tel est mon bouquet de fleurs pour ce dimanche. Et pour votre cœur