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Entraide et Tradition

L’abbé Guy Pagès écrit au pape François.

publié dans regards sur le monde le 20 décembre 2013


 lettre ouverte à Sa Sainteté le Pape François au sujet
de l’Islam dans Evangelii Gaudium,

abbé Guy Pagès – 17 décembre 2013

 

Très Saint Père,

C’est avec une peine redoublée, et avec tout le respect filial que je vous dois, au nom de nombreuses personnes choquées par vos propos relatifs à l’islam, et en vertu du canon 212 § 3[1], que je vous adresse cette nouvelle Lettre, puisque non seulement je n’ai reçu aucune réponse à celle que je vous ai adressée concernant votre Message aux musulmans pour la fin du ramadan, d’abord envoyée en privé ‒ et à trois reprises ‒ et ensuite publiquement, mais encore parce que dans votre exhortation apostolique Evangelii Gaudium vous venez d’écrire que : « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. » (n°253). Une telle affirmation, certainement motivée par votre paternelle sollicitude pour nos frères persécutés en pays d’islam, apparaît cependant comme une terrifiante contrevérité. En effet :

«Allah seul connaît l’interprétation du Coran. » (Coran 3.7)…

– Les versets réputés « tolérants » de l’immuable Coran ont tous été abrogés par « le verset du sabre » (Coran 9.5,29) ;

– Si « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. », alors Mahomet n’a pas incarné la véritable interprétation de l’islam, et sa conduite ne peut pas être normative pour les musulmans (Coran 33.21) ;

– A la différence du Christ ayant confié Son autorité à Pierre dont vous êtes le légitime successeur, il n’y a pas en Islam de magistère qui puisse vous donner, à vous ou à quiconque, avec une autorité infaillible, la définition de ce qu’est ou n’est pas « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran », d’où les incessantes guerres intestines du monde musulman au nom d’une interprétation toujours plus « authentique » ;

– Il suffit d’ouvrir un Coran, même dans une des traductions édulcorées à l’usage des lecteurs occidentaux, pour voir que sur les 6235 versets du Coran, plus de la moitié vouent à l’exécration tous ceux qui ne sont pas musulmans, et expriment la funeste intention de les tuer ou de les soumettre ;

– L’histoire et l’actualité démentent à l’envi, malheureusement, votre affirmation ;

– Quelle autre religion que l’islam Jésus pouvait-Il avoir en vue lorsqu’Il annonçait : « Vient un temps où ceux qui vous tueront penseront rendre un culte à Dieu. » (Jn 16.2) ? Quelle autre religion en effet que l’islam promeut, comme un devoir religieux, le jihad contre les chrétiens ? « Tuez les associateurs [les chrétiens] où que vous les trouviez. Prenez-les, assiégez-les et restez aux aguets contre eux. » (Coran 9.4,5) ;

– Tout chrétien sait, du seul fait qu’il est chrétien, que celui qui cherche son salut dans l’islam se damne : « Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui refusera de croire sera con-damné. » (Mc 16.16) ; « Si nous-mêmes, si un ange venu du Ciel vous annonçait un Évangile différent de celui que nous vous avons prêché, qu’il soit maudit !Nous l’avons déjà dit, et aujourd’hui je le répète : si quelqu’un vous annonce un Évangile différent de celui que vous avez reçu, qu’il soit maudit ! » (Ga 1.8-9 ; Mt 24.4,11,24 ; 1 Jn 2.22-24 ; 4.2-4)… Or, si l’islam damne, n’est-ce pas qu’il est mauvais, et si « aucun arbre mauvais ne donne de bons fruits » (Mt 7.18), comment l’islam pourrait-il porter les bons fruits de paix que vous lui attribuez ?

Très Saint-Père, il est frappant de constater que votre propos répond exactement à la demande formulée, au début du mois de juin 2013, par M. Mahmoud Abdel Gawad, le conseiller diplomatique de M. Ahmed Al-Tayeb, grand imam de la mosquée d’Al-Azhar, ayant déclaré attendre de vous « une intervention où [vous diriez] que l’Islam est une religion pacifique, que les musulmans ne cherchent ni la guerre ni la violence », comme condition au rétablissement des relations diplomatiques entre le Saint-Siège et cette institution représentative de l’islam sunnite qu’est l’Université d’Al-Azar… Et pourquoi M. Ahmed Al-Tayeb voulait-il une telle déclaration ? Pour que vous expiiez la « faute » de votre prédécesseur Benoît XVI ayant osé illustrer en 2006 à l’université de Ratisbonne cette vérité élémentaire que la violence est incompatible avec la vraie religion, contraire à la vraie nature de Dieu, par cette question de l’empereur Manuel II Paléologue à un savant musulman : « Montrez-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau. Vous ne trouverez que ces choses mauvaises et inhumaines, comme le droit de défendre par l’épée la foi qu’il prêchait. » (Les réactions de violence du monde musulman n’ont d’ailleurs pas manqué de confirmer aussitôt la vérité enseignée par le Pape…). Benoît XVI avait ensuite aggravé son cas en 2009 en appelant à protéger les minorités chrétiennes après un énième et terrible attentat à la bombe contre une église à Alexandrie, ce qui avait constitué aux yeux du destinataire de votre lettre, « une interférence occidentale indue ». Ainsi, en répondant au désir du grand imam ― et l’islam veut dire « soumission » ―, souffrant de « réparer » la « faute » de votre vénéré prédécesseur, non seulement vos propos sont interprétés comme une condamnation de son témoignage rendu à la vérité, mais vous n’obtiendrez pas la mansuétude que vous escomptez pour les chrétiens vivant en pays devenus musulmans, car, comme l’exprimait un autre de vos prédécesseurs, le Pape Pie II, dans sa Lettre au Sultan turc MehmetII : « La concorde ne sera donc que dans les mots ; sur le fond, c’est la guerre. »[2]. Qui peut venir en effet après le Christ, sinon l’Antichrist ?

Très Saint-Père, vous nous demandez d’« accueillir avec affection les immigrés de l’Islam qui arrivent dans nos pays » (n°253), mais ignorez-vous donc que le but de l’islam est de se substituer au christianisme et d’instaurer partout la charia ? C’est Allah qui le dit : «Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de subversion[3] et que la religion appartienne uniquement à Allah » (Coran 2.193). Ses disciples, aujourd’hui, ne disent pas autre chose, tel M. Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, qui, dans sa « Déclaration islamique » a le mérite de la clarté : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. »… Voulez-vous vraiment que s’accomplisse la prophétie du président algérien, M. Houari Boumediene qui, enavril 1974, déclarait à la tribune de l’ONU : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »[4] ? Certes, il n’est pas question de se fermer à l’accueil des miséreux, pour autant que nous puissions leur porter secours, mais il est exclu de les naturaliser, selon le conseil même de feu le Commandeur des Croyants, le roi Hassan II, roi du Maroc : « N’essayez pas de faire des Français avec des musulmans, vous n’y arriverez pas. Vous ne ferez que de mauvais Français et de mauvais Musulmans. ».[5] Jugement qui corrobore l’enseignement des Apôtres : « Si quelqu’un vient à vous sans apporter cette doctrine [l’Évangile, que l’islam se fait une gloire de rejeter], ne le recevez pas chez vous et abstenez-vous de le saluer. » (2 Jn 1.10) ; « Ne formez pas d’attelage disparate avec des infidèles. Quel rapport en effet entre la justice et l’impiété ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? » (2 Co 6.14) ?… Aussi nous appartient-il de ne pas transiger avec l’islam. Nos Pères ne se sont pas battus pendant des siècles pour repousser ce malheur qu’est l’islam et pouvoir développer hors d’atteinte de sa mortifère influence l’admirable civilisation chrétienne dont le monde entier profite de nos jours, pour que nous ouvrions aujourd’hui nos portes à l’islam ! Ou alors l’islam aurait-il changé entre temps ? Non, il ne le peut pas, car « les coutumes d’Allah ne changent pas » (Coran 33.62 ; 35.43 ; 48.23).

Je suis pareillement surpris et terriblement gêné pour nos frères chrétiens que, dans votre exhortation apostolique, vous demandiez à ce qu’ils soient « accueillis et respectés dans les pays de tradition islamique », comme s’ils n’étaient justement pas chez eux ! N’est-ce pas infiniment triste de tenir pour un fait acquis la conquête musulmane de ces pays autrefois chrétiens, et de compter pour rien la tradition chrétienne qui y survit aujourd’hui encore sous le joug toujours renaissant et insupportable de la dhimmitude ? Et si les « épisodes de fondamentalisme violent qui nous inquiètent » sont effectivement à déplorer, il ne faut pas chercher longtemps pour en trouver la source : « Faites-leur la guerre jusqu’à ce qu’ils payent le tribut de leurs propres mains et qu’ils soient soumis et humiliés » (Coran 9.29). Aussi, ce n’est pas « l’affection envers les vrais croyants de l’Islam »qui « doit nous porter à éviter d’odieuses généralisations », mais l’amour envers nos ennemis (Mt 5.44).

Quant au fait que les musulmans « professent avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour. » (n°252), il faut bien préciser qu’il ne s’agit pas de la même adoration, aussi vrai que nul ne va au Père que par Jésus (Jn 14.6), et que les musulmans ne prenant pas pour chemin Jésus, leur adoration ne va pas non plus au Père… Nous adorons ce que nous connaissons, eux adorent ce qu’ils ne connaissent pas (Jn 4.22), et c’est pourquoi, acceptant d’adorer celui qu’ils ne connaissent pas, ils adorent celui qui se cache dans les ténèbres, le Père du mensonge (Jn 8.44), le Prince de ce monde, assez orgueilleux et fou pour se présenter à eux comme l’unique et vrai Dieu (Mt 4.8-9).

Si Evangelii Gaudium s’adressait aux musulmans pour leur dire que« Les écrits sacrés de l’Islam gardent une partie des enseignements chrétiens ; Jésus Christ et Marie [y étant] objet de profonde vénération » (n°252), nous pourrions comprendre que vous entendez vous servir d’une apparente similitude entre nos traditions respectives comme d’une base commune possible à un dialogue souhaité. Mais du fait que vous vous adressez à des chrétiens, un tel rapprochement laisse entendre qu’il y aurait effectivement quelque chose de chrétien dans la « révélation » coranique… alors qu’il n’en est, bien évidemment, rien du tout ! Les personnages de « Issa » et de « Maryam » ne s’identifient absolument pas avec ceux de Jésus et de Marie, comme en témoignent les anachronismes et incohérences coraniques, mais servent de miroirs aux alouettes, d’attrape-nigauds, pour légitimer l’islam aux yeux des chrétiens[6], et les conduire ainsi à apostasier leur foi, celle-ci étant pour l’islam le seul péché à jamais impardonnable (Coran 4.48), qui réduit les chrétiens à n’être qu’impureté (Coran 9.28) en sorte qu’en les éliminant l’islam rend gloire à Allah (Coran 9.30).

Vous trouvez « admirable de voir que des jeunes et des anciens, des hommes et des femmes de l’Islam sont capables de consacrer du temps chaque jour à la prière, et de participer fidèlement à leurs rites religieux. En même temps, beaucoup d’entre eux ont la profonde conviction que leur vie, dans sa totalité, vient de Dieu et est pour lui. Ils reconnaissent aussi la nécessité de répondre à Dieu par un engagement éthique et d’agir avec miséricorde envers les plus pauvres. » (n°252), mais, outre que les pauvres dont vous parlez doivent nécessairement être musulmans, ces éléments positifs de piété et de religiosité relèvent du seul désir naturel de bien que Dieu a mis dans le cœur de tout homme et que l’islam exploite pour masquer sa fin essentielle qui est d’éloigner les âmes du salut donné seulement en et par Jésus (Jn 14.6). Si donc les pratiques de l’islam peuvent servir de support à la religiosité humaine, il faut aussi considérer qu’elles enferment l’individu dans une pensée farouchement antichristique, qui le damne (Mc 16.16). Comme l’enseignait saint Paul : « Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas’, tout cela pour des choses vouées à périr par leur usage même ! Voilà bien des prescriptions et doctrines humaines ! Ces sortes de règles peuvent faire figure de sagesse par leur affectation de religiosité et d’humilité qui ne ménage pas le corps, en fait elles n’ont aucune valeur contre l’insolence de la chair. » (Col 2.21-23).

Très Saint-Père, en acceptant de jouer le rôle de faire valoir (Ga 1.4)[7] que l’islam attend de vous et de tous, pensez-vous vraiment aider les musulmans à prendre conscience qu’ils sont en train de se damner, ou bien pensez-vous qu’il soit indifférent pour leur salut d’être musulman ? En louant l’islam, ne craignez-vous pas de conforter les musulmans à rester musulmans et donc à se damner, mais encore, avez-vous pensé que vous détruisiez ainsi les défenses de ceux qui refusent de perdre leur salut éternel par l’accueil de l’islam (2 Co 6.14-18) et leur mise en esclavage par la charia ? En effet, si l’islam est pacifique, portant de bons fruits, il n’est donc pas un faux-prophète (Mt 7.18), et s’il n’est pas un faux-prophète il est un vrai prophète, et donc ce qu’il dit au sujet du christianisme est vrai : Jésus n’est pas mort et ressuscité, croire à la Trinité est une abomination, et il n’y a de salut que dans l’islam… Peut-on à la fois amasser avec le Christ et louer celui qui dissipe Son héritage (Mt 12.30) ?

« Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous déguisés en brebis, mais au-dedans sont des loups rapaces. » (Mt 7.15). Que peut-il arriver au troupeau dont le berger traite avec le loup comme avec un de ses agneaux ? Il semble qu’en cette affaire il vous revienne de marcher derrière le troupeau, et non pas devant, comme vous en évoquez la possibilité dans cette même exhortation apostolique (n°31), et de laisser les brebis trouver seules leur chemin… tant il est vrai que les vraies brebis du Seigneur ne suivent pas la voix d’un étranger, mais le fuient au contraire (Jn 10.5)…

Au moment de conclure, considérant votre désir d’offrir à l’Église de profondes réformes, permettez à l’humble prêtre que je suis, étudiant depuis plusieurs années l’islam, de vous suggérer de renouveler de fond en comble l’équipe de vos conseillers en matière d’islamologie et de dialogue christiano-musulman.

Très Saint-Père, renouvelant l’engagement de ma fidélité à la Chaire de saint Pierre, dans la foi en son infaillible magistère, laquelle n’est pas engagée en dehors de ce qui concerne la Foi catholique et la vie morale, ayant le désir de voir tous les catholiques ébranlés dans leur foi par votre enseignement au sujet de l’islam, faire de même, je prie Notre Dame des Victoires de vous obtenir la force dont saint Paul a fait preuve face aux faux-frères désireux de réduire les chrétiens en servitude. Il refusa de reconnaître la bonté de leur doctrine « fût-ce un moment, fût-ce par déférence, afin de sauvegarder pour vous la vérité de l’Évangile » (Ga 2.4-5).

Abbé Guy Pagès [8]

Source : Islam et vérité

Notes

[1] « Selon le savoir, la compétence et le prestige dont ils jouissent, ils ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Église et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes. » (Can. 212 § 3).
[2] Enea Silvio Piccolomini, Lettre à Mahomet II, Payot & Rivages, 2002, p.48. « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais, jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul. » (Coran 60.4)
[3] La « subversion », en langage musulman, désigne tout ce qui n’est pas musulman.
[4] Nous pourrions citer encore tant d’autres déclarations du même genre, telle celle-ci de Mouammar Kadhafi, Président de la Lybie : « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans en Europe la transformeront bientôt en continent musulman ! »(Le Figaro, 19/12/2006)
[5] Entretien télévisé avec Anne Sinclair le 16 mai 1993.
[6] Et aussi des musulmans.
[7] Pour le psychiatre P.-C. Racamier, le pervers narcissique se caractérise « par la capacité à se mettre à l’abri des conflits internes […] en se faisant valoir au détriment d’un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir » (Cortège conceptuel, Apsygée, 1993, p.52). Et de fait l’islam manipule le christianisme pour en faire si bien « un faire valoir » que Jésus serait le prophète de Mahomet (Coran 61.6) ! Cette haine du christianisme vient encore de s’exprimer par la demande de la Libye que l’Église Catholique quitte son territoire
[8] Note de la rédaction de LPL : Guy Pagès, né en 1958, est un prêtre catholique, blogueur et podcaster français. Ordonné prêtre en 1994, il est rattaché au diocèse de Paris. Lors de ses premières années, il est missionnaire en République islamique de Djibouti lui permettant de se spécialiser dans l’islam. De retour en France et manquant de ministère, l’abbé Pagès est chargé par ses supérieurs d’une mission d’évangélisation par internet. Il partage alors sur les plateformes multimédias YouTube, Dailymotion et GloriaTV, des chroniques vidéos traitant de l’actualité, de l’islam, des grands thèmes de la doctrine de l’Église ainsi que des catéchèses. Il crée également le blog Islam & Vérité, blog catholique et très critique envers l’islam. Nous mettons en garde nos lecteurs sur le fait que l’abbé Guy Pagès est attaché au concile Vatican II et qu’il en accepte et défend la théologie hétérodoxe, notamment sur les points du dialogue inter-religieux et de la liberté religieuse. Il a ainsi justifié le baiser du Coran de Jean-Paul II et sa terrible injonction « Que Saint Jean-Baptiste protège l’Islam »

(Source: la Porte latine)

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