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Déferlante migratoire sur l’île de Kos

publié dans regards sur le monde le 21 mai 2015


DÉFERLANTE MIGRATOIRE SUR L’ÎLE DE KOS : COMPLICITÉ DE LA TURQUIE, DE L’ÉTAT ISLAMIQUE ET… COMPLAISANCE GRECQUE

Déferlante migratoire sur l’île de Kos : complicité de la Turquie, de l’État islamique et… complaisance grecque !

Communiqué de l’Agrif.

Ce mercredi soir 20 mai étaient longuement diffusées sur un reportage de BFMTV les scènes très révélatrices de l’arrivée d’une pleine embarcation de curieux « réfugiés » syriens sur l’île grecque de Kos.

On ne pouvait que constater les évidences suivantes :

 1- Ces « réfugiés » débarquaient joyeux et triomphants, après avoir franchi en très peu de temps et sans encombre les six kilomètres de mer séparant cette île grecque touristique de la côte turque de la mer Égée non moins touristique. Cela donc dans une totale visibilité.

2- Leur premier souci était de téléphoner à leurs familles et amis avec leurs mobiles en parfait état de fonctionnement et d’envoyer aussi force « selfies ».

3- Ils étaient manifestement bien vêtus et disposant d’argent, bien nourris, immédiatement revendicatifs, affirmant d’emblée leur attente impatiente de ce que l’Europe leur fournisse au plus vite hébergement et emploi.

4- Les femmes sous leur hijab, ils étaient d’évidence tous musulmans. Ils affirmaient venir de Syrie.

5- Conformément aux instructions du gouvernement grec telles qu’annoncées par le parti « souverainiste » et socialiste Syriza, un visa pour un séjour de six mois en Grèce allait leur être aussitôt accordé afin qu’ils puissent circuler librement dans le pays et donc dans notre Europe sans frontières.

6- Ces « réfugiés », à l’évidence, n’avaient rencontré aucune difficulté du fait des autorités turques, ayant pu, après avoir franchi la frontière, se déplacer rapidement jusqu’à Kos à plusieurs centaines de kilomètres de la Syrie. De ce qui était retransmis du reportage par BFM TV, rien ne permettait de savoir s’ils en avaient rencontrées du fait de l‘État islamique.

Mais ce cas, présenté comme un simple exemple d’une vaste réalité, illustre encore ce que tout le monde sait bien, à savoir, au-delà des discours de dissimulation, la connivence de l’État islamiste turc avec l’État islamique du nouveau calife Al-Bagdadi. Entre les deux entités, la frontière est certes impossible à atteindre pour des réfugiés chrétiens, mais elle est totalement libre de circulation pour tout le trafic pétrolier dans un sens, et de l’autre pour l’armement et tout ce que l’État islamique achète sans entrave en Turquie et via la Turquie. Et libre de circulation aussi pour les jihâdistes, venus de chez nous et d’ailleurs.

La réalité, c’est que la complicité est totale entre les génocidaires d’hier et ceux d’aujourd’hui. C’est la continuité islamo-jeune-turque et « daech ».

La vérité aussi, c’est que si l’État islamique peut aisément accueillir ses brigades internationales jihâdistes avec la complicité turque, il peut aussi en retour, et avec la criminelle irresponsabilité du gouvernement grec, faire entrer des terroristes en Europe.

La vérité enfin, c’est que si tout l’islam n’est pas celui d’al-Qaïda, de Boko-Haram, des Taliban et de « Daech », cet islam-là, jihâdiste, terroriste, conquérant, constitue une grande partie de l’islam réel. Il imprègne déjà des couches de plus en plus vastes, et surtout jeunes, des populations de « l’oumma » musulmane presque partout dans le monde, hors bien sûr de la cinquantaine de pays officiellement « d’islam » regroupés dans l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) où l’on annonce que la France, inéluctablement, y siègera dans pas très longtemps.

L’islam avance en effet en notre temps à une vitesse fulgurante à l’échelle du temps historique. Il avance sur les décombres de la décomposition anarcho-nihiliste de la France et d’autres pays d’Occident, notamment propagée par l’idéologie des loges maçonniques de M. Valls et de madame Taubira, pour ne citer qu’eux. Il avance sur l’affaissement doctrinal, intellectuel et culturel d’un trop grand nombre encore de prêtres, de religieux et d’évêques d’un certain âge confondant dialogue et complaisance, charité et complicité, accueil et soumission.

Face à cela, l’AGRIF entend jouer son rôle pleinement et plus que jamais, non seulement sur le plan judiciaire mais sur celui de la réplique en tous domaines pour défendre, avec les Français de toutes origines et les chrétiens de toutes races, les valeurs d’une civilisation de la vie, de la dignité humaine, de la vérité, de la liberté.  

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