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Entraide et Tradition

Repenser l’Europe et la France dans l’Europe?…

publié dans flash infos le 26 novembre 2013


 

 Texte d’Henri Comte de Paris Duc de France
Les Français vivent actuellement drames et cauchemars à répétition.   La crise, la dette poussent à grande vitesse le pays vers la   banqueroute. Les impôts ont atteint un seuil, d’intolérance. Notre   industrie s’effrite et la France est vendue par petite morceaux -en   douce- aux Wahabites et aux Quataris, sans que les médias trouvent  les moyens de nous informer. L’invasion rampante d’un islam  conquérant etplus qu’arrogant dans notre pays où ils se croient déjà  les maîtres et se comportent comme tels, rend les Français malades.  
Quant à l’Europe elle n’est même plus, pour eux, une planche de salut.Il y a plusieurs années, bien avant que l’idée du traité de   Maestricht ne prenne consistance, nous avions été conviés à un dîner – débat de décideurs européistes. Un grand silence s’installa parmi nos  commensaux lorsque la Princesse posa LA question: quelle Europe  désirez vous construire, fédérale ou confédérale? Dans celle-ci,  chaque Patrie conserverait son identité culturelle, ses spécificités  et ses pouvoirs régaliens: la justice, la monnaie, la diplomatie et  la Défense. Ce qui permettrait à l’Europe d’additionner ces multiples  différences devenues un « en plus » pour tous. Un silence de plomb fut  la réponse. Au point, qu’intimidée, la Princesse eut peur d’avoir  prononcé une énorme bêtise incongrue face à ces « sages »… Peu de temps après les Français rejetaient par référendum le traité  de Maestricht et parmi eux un grand nombre de socialistes menés par  Monsieur Fabius et Monsieur Chevènement, anciens ministres.
 Dans ce  traité, imposé contre la volonté démocratique des Français, l’unique  phrase rappelant les racines judéo chrétiennes de l’Europe et de la  France avait été effacé, nous privant ainsi de nos libertés essentielles, celles de notre souveraineté régalienne.
Néanmoins  force est de constater l’échec de l’Europe de Maestricht.Aujourd’hui il est clair qu’une gouvernance tremblante de peur, de  lâcheté devant l’abîme qui continue de se creuser, ne veut ni bouger  ni écouter. Les Français de plus en plus nombreux constatent l’échec  de l’Europe et la mort prévisible si nul ne prend la France à bras le  corps. Il est inimaginable de penser que l’euro, cette monnaie que  les experts voulaient commune ait été lancée sans étude préalable  approfondie, sans vision à long terme et sans véritable structure, à  partir d’un néant subjectif et par une simple multiplication à  données variables!…
 Comment ne pas s’étonner alors, que du jour au  lendemain que le prix de la baguette de pain ait doublé et le reste à  l’avenant ?Il devient urgent de repenser l’Europe et la place de la France dans  cette nouvelle confédération. Remettre les solutions aux calendes  grecques serait compromettre définitivement le redressement de notre  économie, car au final, c’est la banqueroute qui nous attends. Ne  nous comportons pas comme Gribouille qui, pour mettre à l’abri de la  pluie ses habits neufs, ne trouva rien de mieux que de se mettre sous  un pont au milieu d’un torrent furieux. Vendre nos industries, notre agriculture, nos terres au delà des mers  et des morceaux de France à l’Etranger, aux Wahabites , aux Quataris  en leur permettant même d’acheter nos églises que l’on abandonne à la  ruine pour justifier de les transformer en mosquée (plus de 1200  mosquées seraient ainsi érigées), cette mise à l’encan de notre  patrimoine pourrait, un jour,  être considéré comme haute trahison,   uns trahison irrémédiable car on ne dépèce pas la France, on ne tue  pas sa spiritualité et toute la beauté qui en découle. Comment ne pas  évoquer l’amour d’un grand nombre de Français pour leur région, leur  terroir alors que les campagnes se désertifient au profit de  mégalopoles sortes de tumeurs cancéreuses sur notre tissus social? Ces Français souffrent de la délocalisation de nos industries qui  périclitent et pour conséquence des millions de Français vont grossir  l’armée des chômeurs. Pleure oh Pays bien aimé, car je partage avec  beaucoup de Français la quasi certitude qu’une volonté extérieure  puissante, soutenue par des relais intérieurs, a la volonté de  détruire la France éternelle, sa culture, son humanisme et ses  valeurs ontologiques. On ne jette pas la France tel un kleenex déchiré. Il est donc urgent de construire l’Europe confédérale, l’Europe des  Patries telle que le Général de Gaulle en avait la vision avec Conrad  Adenauer. Le premier pas devrait être de proposer les moyens de  détricoter l’euro. De nombreux économistes ont des propositions  concrètes à faire, des projets déjà formulés. Chaque pays, en  conservant sa monnaie, pourrait retrouver une souplesse politique  donc économique et financière pour relancer la croissance avec la  possibilité de jouer sur le cours de la monnaie, encadrée au sein  d’un serpent monétaire mais aussi en allégeant les charges  insupportables des patrons d’industries de PME ou PMI qui aimeraient  embaucher. Les Banques Centrales souveraines de chaque pays  maintiendraient l’euro pour les échanges commerciaux extérieurs.  Prenons exemple sur le pragmatisme de nos voisins Anglais qui ont  conservé la souveraineté régalienne de leur monnaie, tout en étant  partie prenante de l’Europe. Le pragmatisme en politique donne de  meilleurs résultats qu’une idéologie, toujours éloignée de la réalité  et de ceux qui soufrent, qui peinent. Voudrait-on voir disparaître  les pauvres,leschômeurs, les classes moyennes que l’on continue de  matraquer fiscalement, que l’on prive de travail et bientôt des biens  essentiels à la vie?Pourtant au début de ce nouveau quinquennat plusieurs grands experts  avaient fait parvenir à l’Elysée une sévère mise en garde accompagnée  de propositions, de projets pour redresser la France et tenter  d’arrêter cette terrifiante glissade vers l’abîme. Ce fut lettre  morte et manifestement sans même avoir été lu. Certes le libre- échange, tel que vécu, totalement débridé face à la mondialisation  incite au super enrichissement de ceux qui s’ en sont déjà donné les  moyens et à l’appauvrissement de ceux qui ont déjà été laissés pour  compte. Du temps où, ce que l’on nommait le PLAN, existait encore  notre économie et notre industrie se portaient mieux… Si l’Europe des Patries trouve la volonté politique de se construire,  avec pragmatisme, il conviendrait de protéger chaque pays et à  fortiori l’Europe confédérale en rétablissant nos frontières  respectives, nécessaires à notre économie, mais aussi afin de pouvoir  juguler les invasions dont nous sommes victimes et principalement  celle de l’islam tout en conservant le pouvoir et le devoir de  renvoyer chez eux ceux qui profitent de notre sécurité sociale sans  contrepartie de travail. Aujourd’hui les Français sont refusés à la   porte des hôpitaux qui reste grande ouverte aux immigrés quels qu’ils  soient même sans papiers ni argent. Ce sont les contribuables  Français qui en supportent le coût.
Parallèlement la France devrait avoir une politique familiale   favorisant la natalité des Français afin de résister à la pression   démographique du Sud. Actuellement le laxisme d’une politique des  vases communicants est la cause principale de bien des maux. Tachons  de faire mentir Lénine qui disait: « L’Europe est un ventre mou qu’il  faudra engrosser ». L’islam de la charia, actuellement, ne s’en prive  déjà pas. Pour que l’Europe des Patries et non des Nations voie le jour, il   faudrait évidement en repenser la gouvernance, à l’image d’une   confédération Helvétique… Car pour l’instant la Commission   Européenne de Bruxelles est semblable à ces gravures cauchemardesques  du grand artiste Piranèse, fruit de la divagation mentale de  fonctionnaires sans mandat électif, ou de lobies de tout calibre,  aussi nombreux que les puces sur un chien errant et des banques dont  on ne distingue plus la vocation si ce n’est la loi du plus fort et  celle de l’argent roi, laissant l’Homme nu dans un marécage. Si j’écoute les vieux sages et les jeunes sages -il en existe encore  en France- travailler pour construire une Europe confédérale ne leur  semble pas une utopie. Il faut en avoir le courage, ce n’est pas ce  qui manque aux Français. Cela permettrait de soulager notre voisin  d’outre Rhin, il ne serait plus seul à supporter le poids mal réparti  d’une Europe en perdition. Prétendre vouloir idéologiquement faire le  bonheur des peuples malgré eux autorisa Lénine puis Staline à tuer  plus de trente millions d’individus. La France est encore riche de  possibilités, d’hommes et de femmes intelligents, capables,  responsables, c’est à eux qu’il faudra s’adresser pour le présent et   l’avenir. Vivent la France et les Français.
Henri Comte de Paris Duc de France        
 

Paris 22 Novembre 2013

                 

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